Selon une récente étude menée par des chercheurs anglais et chinois, il semble que consommer du sucre sous forme liquide, en buvant un soda par exemple, est pire pour la santé que d’en consommer sous forme solide ( tarte, biscuit … ). Par ailleurs, cela favoriserait davantage le diabète de type 2.
Des sucres meilleurs que d’autres
Le sucre existe sous différentes formes dans notre alimentation. Celui contenu dans le miel par exemple est meilleur pour la santé car il contient des vitamines, notamment B1, B2 et B6, mais aussi des minéraux ( calcium, potassium, sodium ). Il est donc meilleur pour la santé de se tourner vers des alternatives au sucre raffiné, comme le miel ou le sirop d’agave, à l’index glycémique peu élevé, ou encore la stévia qui n’apporte quasiment aucune calorie.
Le sucre solide meilleur que le sucre sous forme liquide ?
Récemment, des chercheurs de l’Université d’Aberdeen ( Royaume-Uni ) et de l’Académie des sciences de Beijing ( Chine ) ont mené une étude pour comparer les sucres traditionnels entre eux. Au cours d’une étude publiée dans le journal Molecular Metabolism, les scientifiques ont expérimenté l’effet des sucres sur deux groupes de souris. Le premier consommait du sucre sous forme solide, tandis que le second l’ingérait sous forme liquide.
Au bout de deux mois, les souris du deuxième groupe ont développé une résistance à l’insuline plus importante que celles du premier groupe, et ont pris davantage de poids. « Ces données confirment le rôle significatif des boissons sucrées dans le développement de l’obésité et de la résistance à l’insuline » concluent les chercheurs.
Ainsi, consommer des boissons sucrées ( sodas, jus de fruits, sirops …) serait plus nocif pour la santé que de consommer des aliments sucrés sous leur forme solide. Cela favoriserait le développement d’un diabète de type 2.
Des chercheurs anglais et chinois ont réalisé une étude sur des souris qui a démontré que la consommation de sucre sous forme liquide est plus néfaste pour la santé que d’en consommer sous forme solide. Enfin, cela favoriserait une résistance à l’insuline et le développement d’un diabète de type 2.
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