Cette année, sur la période du 17 mars au 26 avril, la pollution de l’air était supérieure de celle enregistrée en 2019 sur la même période. En effet, 47% des foyers étaient pollués au premier jour du confinement. Le confinement ainsi que le manque d’aération justifient en partie ce renouvellement d’air insuffisant. Selon une étude menée par Netatmo, plus d’un tiers des Français respirent un air pollué chez eux, chaque semaine depuis cette date. Il est ainsi primordial d’adopter de bons réflexes et d’aérer son logement au moins deux fois par jour comme le recommande l’ADEME, (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). Toutefois, avec un tiers des logements mal aérés, les Français sont meilleurs élèves que leurs voisins Européens.
Les foyers français sont les moins pollués d’Europe
45% des foyers ont dépassé le seuil de 1 000ppm de CO2 au moins une fois par semaine, en moyenne, en Europe, entre le 1er mars et le 26 avril 2020. Avec 34% de foyers pollués chaque semaine, la France est le pays avec le niveau de pollution intérieure le plus bas. Elle se trouve en tête du classement, devant l’Espagne, la Pologne, l’Allemagne, la République Tchèque et l’Italie.
L’origine de la pollution de l’air
- Les revêtements (peintures, moquettes, rideaux, panneaux de bois agglomérés, vernis)
- Les produits d’entretien ménager,les aérosols, les vapeurs de cuisine
- Les appareils de chauffage ou de cuisson
- Les parfums corporels et parfums d’intérieur, les bâtons d’encens, les bougies parfumées
- La fumée de cigarette : 4 000 substances dont plus de 40 – comme le formaldéhyde (CH2O) – sont reconnues comme cancérigènes, les autres se “contentant” d’atteindre gravement la fonction respiratoire (particules fines, monoxyde de carbone (CO), etc)
- Les molécules ou particules issues de la collecte et/ou du stockage des ordures (composés organiques volatiles, ammoniac (NH3), CH2O, particules…)
- Les particules et gaz émis par les occupants humains ou animaux (CO2, NH3, poils, micro-organismes, spores de moisissures qui se développent en présence d’humidité…)
Traiter la pollution intérieure par les plantes
Les plantes s’adaptent mieux que nous aux changements de notre environnement gazeux. Elles concoctent en permanence de nouvelles solutions pour rétablir les conditions de la vie. Elles inventent des systèmes précis de synthèses biologiques pour éliminer chaque polluant, purifier l’air, le sol et contrôler l’humidité de l’atmosphère. Par ailleurs, à la campagne, l’air est chargé de milliards de molécules aromatiques différentes issues de la végétation. Ces molécules agissent et interagissent entre elles de mille façons, avec des actions spécifiques sur notre métabolisme en général.
Des solution pour mieux s’oxygéner
Le Bol d’air Jacquier, par exemple est un appareil permettant de mieux utiliser l’oxygène par l’huile essentielle de résine de pin ou de térébenthine Pinus Pinaster. Ce composé, appelé Orésine, contient majoritairement des alpha-pinènes et beta-pinènes, et une faible fraction de limonène (2%). Les alpha et beta-pinènes sont parmi les molécules aromatiques les plus répandues dans la nature. Elles forment la majorité des bonnes senteurs fabriquées par les arbres, les arbustes, les fleurs et les herbes. Ces molécules aromatiques gagnent une propriété supplémentaire en sortie du Bol d’air Jacquier. En effet, elles se présentent sous forme de nébulisat peroxydé. Elles deviennent en effet, capables de s’associer à l’hémoglobine pour mieux transporter et délivrer l’oxygène vers la cellule. La présence d’oxygène au niveau cellulaire est facilitée et les défenses anti-radicalaires naturellement augmentées. L’oxygénation devient alors, normale malgré la pollution.
Aujourd’hui, la pollution est omniprésente. Pour en venir à bout rien de telle que l’oxygénation par les plantes. C’est d’ailleurs une des raisons qui pousse les architectes à imaginer des habitations avec toutes sortes de végétaux.
