Chaque année, des smartphones de plus en plus performants et multi-tâches font leur apparition sur leur marché. Cela fait que nous devenons de plus en plus dépendants de nos téléphones. Pour constater notre addiction et y remédier, du 3 au 9 février ont lieu les journées mondiales sans téléphone mobile.
Une semaine sans téléphone mobile
C’est le 6 février 2001 que Phil Mars, écrivain indépendant, lance la journée mondiale sans téléphone mobile. Il propose initialement 3 jours de réflexion sur le « mobilou », cet outil technologique de plus en plus omniprésent dans nos vies et qui a révolutionné notre manière de communiquer.
Depuis 2004, cette journée mondiale se déroule sur trois jours : les 6, 7 et 8 février. Cette période est censée nous laisser le temps de décrocher de nos smartphones. Exceptionnellement en 2020, les journées mondiales sans téléphone mobile sont devenues une semaine mondiale qui se déroule du 3 au 9 février.
Le concept de ces journées mondiales
Le 6 février est une journée symbolique puisque l’on célèbre la Saint Gaston, une référence au fameux couplet de Nino Ferrer « Gaston y’a l’téléfon qui son, Et y’a jamais person qui y répond … ». Ainsi, le concept initial de ces journées mondiales est de ne pas utiliser son téléphone mobile pour se rendre compte de notre dépendance, voire de notre addiction, à ces petits outils technologiques.
Si les téléphones servaient au départ uniquement à téléphoner, les smartphones sont de plus en plus performants et nous permettent de réaliser de plus en plus de tâches. Cela a révolutionner notre manière de communiquer et notre relation aux téléphones, devenus de plus en plus omniprésents dans notre quotidien. Réaliser notre rapport à notre téléphone le temps d’une semaine peut être très bénéfique et nous pousser à changer de comportement.
Du 3 au 9 février ont lieu les journées mondiales sans téléphone mobile. Initialement, cette journée lancée par Phil Mars en 2001 se déroulait uniquement le 6 février. Mais nos rapports aux smartphones ayant nettement évoluer ces dernières années, une semaine devrait nous permettre de mieux nous rendre compte de notre dépendance à ces outils technologiques de plus en plus performants et de plus en plus omniprésents dans notre quotidien.
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