Après les facteurs héréditaires, les mauvaises habitudes alimentaires et la sédentarité, il se trouve que l’heure des repas a également un effet direct sur notre prise de poids. C’est ce que confirme une récente étude américaine parue dans The Journal of Nutrition. So Healthy vous en dit plus !

Ce que dit l’étude 

Une étude apparue le 12 juillet dans The Journal of Nutrition indique que l’indice de masse corporelle (IMC) d’un individu varierait en fonction de l’heure et de la fréquence de ses repas.
En effet, des chercheurs de l’université de Loma Linda aux Etats-Unis se sont penchés sur des données concernant 50 660 membres de l’Eglise adventiste ayant répondu précédemment à un questionnaire détaillé sur leurs habitudes alimentaires et sur leur mode de vie.
Selon Top Santé, on retrouve dans ce questionnaire le temps de sommeil des participants, l’horaire de leur repas principal ainsi que le nombre de fois où il mangent par jour.

Les résultats de l’étude démontrent que les personnes faisant plus de trois repas par jour ont un IMC plus élevé. Ceux prenant 2 repas par jour, dont le petit-déjeuner comme repas principal, et qui privilégient de longues périodes de sommeil ont un indice de masse corporelle plus faible.

Hana Kahleova, une spécialiste en diabétologie responsable de l’étude explique : « Consommer un petit-déjeuner semble augmenter la satiété, réduire l’apport énergétique total, améliorer la qualité globale de l’alimentation, réduire le taux de lipides sanguins et améliorer la sensibilité à l’insuline ainsi que la tolérance au glucose. »  Il conviendrait donc selon elle de « petit-déjeuner comme un roi, déjeuner comme un prince et dîner comme un pauvre ».

 

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Le grignotage est à éviter !

 

Les différents facteurs de prise de poids

Les kilos en trop ne surviennent pas uniquement si l’on est un adepte des dîners bien copieux. Il existe en effet plusieurs facteurs !

 

L’hérédité

Au cours des dernières années, des études scientifiques ont permis d’identifier certains gènes intervenant dans la prise de poids. En effet, il existe des gènes influençant l’appétit mais aussi la sécrétion des enzymes nécessaires à l’assimilation des aliments dans l’organisme. Par ailleurs,  avoir un géniteur en surpoids multiplie le risque de grossir de 40%

 

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Avoir un géniteur en surpoids multiplie le risque de grossir de 40%

 

 

Les mauvaises habitudes alimentaires

Une alimentation trop riche en gras et en sucre adoptée sur le long terme, est l’un des principaux facteurs de la prise de poids.

 

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Une alimentation trop riche en gras et en sucre favorise la prise de poids

 

La sédentarité

Ce fléaux est de plus en plus présent dans notre société. Or moins on bouge et moins on dépense d’énergie ! Tout comme une alimentation trop riche, la sédentarité est une des plus grande cause de la prise de poids.

 

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La sédentarité est un véritable fléau

 

Les hormones

Le cycle hormonal influençant souvent l’appétit, il est possible qu’une prise de poids survienne à la fin des règles. D’autre part, les oestrogènes facilitent le stockage des graisses dans les adipocytes (les tissus adipeux).

Il existe également de nombreux autres facteurs tels que la contraception, l’arrêt du tabac ou du sport, l’âge, ou encore la prise de certains médicaments.

 

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Les hormones influencent aussi la prise de poids !

 

 

Le 12 juillet, des chercheurs de l’université de Loma Linda ( Etats-Unis) publient une étude dans The Journal of Nutrition indiquant que l’indice de masse corporelle varie en fonction de l’heure et de la fréquence des repas. Pour éviter une prise de poids, il faudrait s’en tenir au célèbre dicton  « petit-déjeuner comme un roi, déjeuner comme un prince et dîner comme un pauvre » !

Photo de couverture : crédit à Syda Productions – Fotolia.com

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